En effet, pour des raisons liées à la sécurisation de son territoire, le gouvernement du Bénin a pris la décision de fermer les pistes secondaires non autorisées. C’est en application de cette décision que le gouvernement a recouru aux services d’une société pour mettre des moellons sur ces pistes non autorisées.
Au cours de ce travail, ‹‹ des citoyens d’un pays voisin se sont pris aux éléments de la Police béninoise. Contrairement aux informations partagées ou distillées sur les réseaux sociaux, ce ne sont ni les populations de Manigri ni celles de Pénélan et encore moins celles de Bassila qui ont eu une altercation avec la Police Républicaine ››, informe le préfet du département de la Donga à travers un communiqué.
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