Sébastien Haller sera finalement présent lors de la demi-finale aller de la Ligue des champions entre le Borussia Dortmund et le Paris-Saint-Germain. Le buteur ivoirien était annoncé indisponible en raison d’une blessure musculaire.
Originaire de la banlieue parisienne, plus précisément de Vigneux-sur-Seine dans l’Essonne, Haller nourrit une connexion spéciale avec la ville lumière. Bien qu’il n’ait jamais évolué sous les couleurs du PSG dans sa jeunesse, ce match revêt une importance particulière pour lui. Après tout, disputer une demi-finale de la Ligue des champions est une opportunité rare dans une carrière de footballeur professionnel.
L’entraîneur allemand Edin Terzic a évoqué la possible participation de l’attaquant lors de la conférence de presse précédant le match. Il a souligné que Haller, récemment blessé, avait repris partiellement l’entraînement avec le reste de l’équipe et que sa participation serait confirmée après l’entraînement final. Cette annonce a suscité un sentiment d’optimisme parmi les supporters.
La blessure à la cheville contractée après la Coupe d’Afrique des Nations en février dernier avait initialement compromis la présence de Haller sur le terrain. Sa blessures était même réactivée lors du dernier match qu’il avait disputé contre le Borussia Monchëngladbach le 13 avril. Cependant, sa détermination à récupérer à temps pour cette demi-finale a été remarquable.
Bien que sa participation soit quasiment confirmée, il est probable que l’ancien joueur de l’AJ Auxerre débutera sur le banc, étant donné son manque de forme physique. Néanmoins, sa simple présence dans le groupe représente une victoire en soi, étant donné les doutes persistants quant à sa disponibilité pour cette rencontre cruciale.
Ainsi, c’est probablement l’international allemand Niclas Fulkrug qui débutera le match en tant qu’attaquant de pointe pour le Borussia Dortmund, mais la possibilité d’avoir Haller dans les rangs est un atout précieux pour l’équipe jaune et noire. Ce retour de situation prouve une fois de plus que dans le football, rien n’est jamais acquis jusqu’au coup de sifflet final.